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Services métérologiques pour les Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 à Vancouver

15.0 Leçons apprises, recommandations et héritage

15.1 Hébergement et logistique

15.2 Planification et soutien de la direction

15.3 Impartition des technologies de l’information et Atos Origin

15.4 Observations météorologiques

15.5 Héritage sur le plan de la science

15.6 Expérience des prévisionnistes et introduction de nouvelles technologies

15.7 Prévisions probabilistes et utilité pour les clients

15.8 Héritage sur le plan des services et des communications


15.0 Leçons apprises, recommandations et héritage

Près de six années de développement pour le projet des services météorologiques ont invariablement donné lieu à de nombreux culs-de-sac et de nombreuses erreurs qui ont été de façon générale corrigés avant la cérémonie d’ouverture, bien que dans certains cas nous n’avons pu le faire, puisque des délais et des retards probablement évitables avaient été connus au départ. Ayant traversé le processus, l’équipe de gestion du projet des services météorologiques pour 2010 présente les suggestions qui suivent à l’intention des prochains planificateurs des services météorologiques dans le cadre de Jeux olympiques.

15.1 Hébergement et logistique

Puisque la formation des prévisionnistes pour les Jeux a commencé à l’hiver 2005-2006 et s’est poursuivie chaque hiver jusqu’en 2010, l’hébergement des prévisionnistes assignés aux sites de compétition, et parfois l’hébergement des techniciens (comme lors des épreuves préparatoires), devait être prévu sur les sites ou à proximité de ceux-ci. Pendant les Jeux, les employés fédéraux ont utilisé une méthode centralisée, tous les lieux d’hébergement ayant été planifiés et réservés par la Gendarmerie royale du Canada. Cependant, comme les prévisionnistes du Service météorologique du Canada devaient s’exercer sur les sites de compétition bien avant l’arrivée du reste du personnel du gouvernement du Canada, Environnement Canada se devait d’obtenir bon nombre des lieux d’hébergement dont il avait besoin grâce à des baux saisonniers privés conclus avec des propriétaires de la région de Whistler, baux qui ont été renouvelés pendant plusieurs années jusqu’aux Jeux et pendant les Jeux (même si les prix étaient considérablement plus élevés pendant les Jeux que pendant les stages). Nous recommandons cette démarche pour l’équipe des services météorologiques, puisqu’elle offre l’avantage d’éviter les déménagements et permet à la direction de l’équipe d’éviter d’avoir à gérer l’incertitude considérable liée aux lieux d’hébergement et à la location que suscite le fait de dépendre d’autres organismes pour répondre aux besoins. Les prévisionnistes travaillent de très longues heures pendant les Jeux, et ils ont besoin d’un lieu accessible et tranquille, près des sites où ils travaillent. Il est également utile de disposer d’une connexion Internet haute vitesse dans les lieux d’hébergement, de façon à ce qu’ils puissent s’informer avant de retourner au travail ou répondre à des appels en-dehors des heures de travail.

Les techniciens peuvent être hébergés un peu plus loin que les prévisionnistes puisqu’ils seront davantage appelés à se déplacer (avec leur propre véhicule). Cependant, la direction de l’équipe doit faire en sorte que le personnel technique dispose d’un accès facile aux sites, par l’obtention dès le départ de quelques laissez-passer de stationnement et d’accès de véhicule, et que les autorisations adéquates soient prêtes pour les techniciens. Le nombre de personnel technique accrédité peut être limité à quelques individus seulement, puisque, pendant les Jeux, leurs services ne seront requis que dans l’éventualité d’une panne de système. Nous avons obtenu l’accès pour les techniciens au moyen de « laissez-passer secondaires », mais ceux-ci étaient plutôt particuliers et à chaque site, le personnel technique a établi des ententes informelles avec les gestionnaires des sites afin d’y avoir accès plus facilement.

15.2 Planification et soutien de la direction

La planification des services météorologiques pour 2010 a commencé à la fin du processus de candidature olympique. La structure de l’équipe a été réduite, le météorologue en chef étant tenu d’élaborer un plan intégré de services météorologiques, et de négocier avec les autres directeurs des différentes sections d’Environnement Canada pour les services et le personnel nécessaires afin de mener à bien le plan. Le directeur responsable du projet jouait généralement un rôle de cueillette d’information aux premières étapes, qui s’est transformé en un rôle de surveillance et de reddition de comptes à la haute direction au cours des quelques années précédant les Jeux. Puisque le projet des services météorologiques avait été conçu afin de satisfaire aux besoins du COVAN et des organismes fédéraux qui offraient des services dans le cadre des Jeux, il fallait coordonner de nombreux aspects qui se recoupaient. Par exemple, la conception du réseau d’observation météorologique olympique devait tenir compte non seulement des exigences concernant les données météorologiques particulières pour les sites de compétition, telles qu’exigées par les diverses fédérations internationales de sports, mais devait également permettre de meilleures analyses des régimes météorologiques ayant cours sur toute la région où se sont tenus les Olympiques afin d’améliorer la qualité du programme de prévision global. Il est devenu évident, très tôt, que le rôle central de coordination du météorologue en chef constituait la dimension la plus importante et la plus significative du travail.

Il y a de nombreuses relations clés qui ont été établies, facilitées et maintenues par le météorologue en chef. Voici quelques exemples d’équipes du gouvernement ou de partenaires avec qui des relations ont été entretenues :

  • SNOW-V10
  • Direction générale du dirigeant principal de l’information d’Environnement Canada
  • Division de l’observation atmosphérique du Service météorologique du Canada d’Environnement Canada (dans la région du Pacifique et du Yukon et dans la région des Prairies et du Nord)
  • Services des Communications d’Environnement Canada
  • Cadres supérieurs d’Environnement Canada
  • Prévisionnistes de l’équipe
  • Opérations du Centre météorologique canadien
  • Réponse aux urgences environnementales du Centre météorologique canadien
  • Comité des services fédéraux essentiels (échelle du gouvernement)
  • Chercheurs et développeurs locaux
  • Concepteurs du site Web des services météorologiques à l’interne et à l’externe pour 2010
  • Services du Service météorologique du Canada d’Environnement Canada
  • Commission de révision des marchés publics
  • Travaux publics et Services gouvernementaux Canada
  • U.S. National Weather Service
  • Réseau MétéoMédia
  • Centre de prévision des intempéries du Pacifique
  • Services juridiques d’Environnement Canada (contrats et propriété intellectuelle)

Au sein du COVAN , le météorologue en chef a élaboré et maintenu des relations avec les entités suivantes :

  • Département des sports
  • Services médicaux
  • Département des transports
  • Service des technologies de l’information
  • Atos Origin
  • Fédérations internationales de sports
  • Production sportive
  • Opérations et gestion des sites de compétition
  • Observateurs officiels
  • Services juridiques

Le météorologue en chef assurait la coordination des communications afin de faciliter l’échange d’information et d’établir des liens uniquement lorsque cela était nécessaire. Dans certains cas, les liens initiaux consistaient simplement en présentations pour laisser les deux parties ou plus assurer le suivi afin d’effectuer leurs tâches. D’autres liens ont nécessité une participation, une orientation et, parfois, une intervention importantes. La raison principale de cette structure, toutefois, était que les services sportifs du COVAN insistaient pour que le météorologue en chef soit la seule personne-ressource pour l’ensemble des questions météorologiques. On établissait ainsi un « guichet unique » pour le comité d’organisation des Jeux olympiques, ce qui simplifiait la planification et l’obtention des ressources et du soutien météorologique.

À mesure que la charge de travail augmentait, le météorologue en chef élaborait des dizaines de liens et de relations productives (au final, plus de 240 personnes au sein d’Environnement Canada ont travaillé à ce projet). Il aurait été utile de nommer un adjoint administrateur à temps plein aussi tôt que trois ans avant la cérémonie d’ouverture des Jeux. Au début 2009, comme l’urgent besoin de soutien administratif devenait évident, une grande part de ce rôle a été prise en charge par le personnel de soutien administratif du directeur régional.

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15.3 Impartition des technologies de l’information et Atos Origin

Les besoins en données météorologiques d’Atos Origin ont été satisfaits par la préparation d’un logiciel relativement simple, à l’interne, permettant de convertir les modèles de prévision et d’observation en une version XML satisfaisant les exigences en matière de format d’INFO 2010. Au départ, on avait prévu que la conversion des formats de données d’Environnement Canada en format XML approprié pourrait se faire automatiquement au moyen de la base de données du programme national de prévision SCRIBE et d’une fonctionnalité intégrée permettant la production en format XML faisant partie des capacités de SCRIBE. Malgré un investissement considérable en temps et en efforts, on a déterminé en 2008 que SCRIBE ne permettait pas de produire des données météorologiques pouvant être efficacement intégrées dans INFO. Il s’agissait d’un obstacle considérable, puisque SCRIBE était prévu pour, de par sa conception, constituer le fondement de toute production de prévisions pendant les Jeux. Pour corriger cette lacune, Q-Device a été conçu, testé et déployé en décembre 2009. Même si Q-Device fonctionnait comme prévu, il a compliqué la production des prévisions. D’abord, les prévisionnistes devaient se familiariser avec le fonctionnement de Q-Device l’année précédant les Jeux, et bien que cela fût fait correctement, d’autres développements auraient pu être apportés sur le fondement des commentaires et de l’évaluation des prévisionnistes si davantage de temps avait été accordé. Q-Device était plutôt difficile à modifier, et ce problème n’a pas pu être rectifié à temps pour la cérémonie d’ouverture. Nous recommandons que tôt dans la période de planification, l’équipe météorologique de Sotchi examine les spécifications concernant les données et les prévisions météorologiques accessibles auprès d’Atos Origin et prépare leur solution logicielle bien à l’avance. Idéalement, toutes les prévisions – pour INFO, pour les sports et pour le public – doivent pouvoir être fondées sur une seule base de données d’observation et de prévision, comme nous en avions l’intention au départ.

15.4 Observations météorologiques

Un certain nombre d’innovations en matière d’observation météorologique ont été introduites pour les Jeux. Elles comprennent une période de production de rapports d’observation supérieure à la période habituelle (toutes les 15 minutes pour le réseau principal et toutes les minutes pour les systèmes SNOW-V10). De nouveaux ensembles de données ont été introduits; certains pour satisfaire les besoins des fédérations internationales de sports (température de la surface de la neige) et certains pour améliorer la qualité des prévisions (rapidité des prévisions aux 15 minutes et variabilité directionnelle du vent, et vitesse instantanée maximale du vent aux 15 minutes). En outre, un réseau complet de caméras Web, sur les sites et le long du corridor Sea to Sky, a été installé avant les Jeux. Ces systèmes d’observation novateurs ont été exceptionnellement utiles pour les météorologues assignés aux sites de compétition et, en bout de ligne, pour les clients.

Étant donné que notre approche de l’observation météorologique visait, à quelques exceptions près, l’automatisation complète, nous ne pouvions pas trouver une solution satisfaisante pour obtenir une observation de l’état du ciel pour INFO, tel qu’il le fallait. Autrement dit, l’état du ciel est mesuré et classifié par des observateurs humains. L’équipement automatique existant fournit généralement des données observées le long d’une ligne, et non selon une perspective tridimensionnelle sur 360 degrés comme peut l’offrir un observateur qualifié. Pour pallier ce problème, les prévisionnistes assignés aux sites de compétition ont produit des données sur l’état du ciel observé toutes les heures alors qu’ils étaient sur les sites, et ont saisi manuellement ces données dans Q-Device. Pendant les heures de fermeture, les prévisionnistes du centre de prévision POD intégraient les observations sur l’état du ciel pour les sites dans INFO en évaluant les données des caméras Web, des satellites et des autres ensembles de données pour chaque site et créaient ensuite une observation synthétique. Pour les besoins d’INFO, cette solution a très bien fonctionné.

15.5 Héritage sur le plan de la science

Les services météorologiques des Jeux représentent un investissement considérable en argent et en ressources humaines. La philosophie originale de la planification voulait qu’Environnement Canada mise sur les investissements faits pour l’avancement des prévisions météorologiques de pointe pour en faire profiter plus tard tout le programme national de prévision. Les résultats sont apparus sans tarder dans de nombreux domaines. D’abord, des indications de prévision numérique du temps à une résolution de 1 km pour les secteurs de prévision au public sont désormais périodiquement accessibles dans la région du Pacifique, mais pas encore pour tout le pays. Il s’agit d’un progrès considérable, par rapport aux indications à une résolution de 2,5 km que l’on disposait avant les Jeux, et représente un taux de progression de trois à cinq années d’avance sur le calendrier des innovations modèles prévues avant les Olympiques. La variante du GEM à une résolution de 2,5 km, accessible à l’échelle nationale, sera considérablement modifiée dans un proche avenir en fonction des leçons apprises de l’utilisation des prototypes pendant les Jeux, et éventuellement, l’utilisation nationale du modèle de résolution à 1 km sera propagée, selon les ressources informatiques.

Pour le moment, les recherches de SNOW-V10 se poursuivent, mais son site Web, comportant un large éventail d’outils de prévision, n’est plus en ligne. L’accessibilité aux modèles à haute résolution, aux outils de prévision immédiate de SNOW-V10 et aux autres profileurs de vent et observations radar de Whistler a créé une richesse de données sur les conditions locales et a mené à la découverte d’explications de phénomènes météorologiques n’ayant jamais été observés auparavant ni perçus dans des modèles, comme le « Cypress Chinook ». Ce phénomène se produit lorsqu’une série d’événements à grande échelle crée un courant de l’Est sur les montagnes du North Shore; il peut entraîner la diminution rapide du stock nival, tant par la fonte que par la sublimation par le vent. Il peut également créer des vents dommageables dans le sens de la pente, dans la portion sud du corridor Sea to Sky – un phénomène pour lequel, jusqu’à ce que nos nouveaux outils soient en place, nous n’avions aucune explication physique satisfaisante. Les « courants bloqués », où le vent est dévié par la topographie en présence de précipitations, étaient pour la première fois clairement visibles sur l’imagerie expérimentale du vent et de la réflectivité du radar Doppler. Ces phénomènes avaient, par le passé, mené à des tempêtes de neige importantes imprévues ou sous-estimées par les prévisions, mais la technologie de SNOW-V10 a grandement amélioré notre probabilité de détecter ces phénomènes et d’améliorer le résultat des prévisions.

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15.6 Expérience des prévisionnistes et introduction de nouvelles technologies

Les commentaires probablement les plus notables de la part des prévisionnistes ne concernaient pas le fait qu’ils aient accès à de nouveaux ensembles de données et aux outils de prévision; ils ont plutôt souligné la gratification et la satisfaction personnelles qu’ils ont tirées de leur travail en étroite collaboration avec les gestionnaires des sites, les autorités sportives et les responsables des fédérations internationales de sports pour les prévisions météorologiques quotidiennes pouvant avoir un impact sur le calendrier des compétitions, ce qui s’est concrétisé. Les nouvelles technologies ont considérablement amélioré leur confiance personnelle dans les prévisions qu’ils préparaient, et ils étaient en mesure de communiquer ces prévisions, et de faire connaître l’incertitude inhérente à celles-ci, de manière à permettre aux responsables des sites de prendre des décisions fermes et opportunes. Le fait de pouvoir recourir aux experts de SNOW-V10 et des modèles au centre de prévision POD a considérablement contribué à la réussite des prévisions, particulièrement pendant les périodes où une expertise particulière relativement au radar ou au modèle était nécessaire afin de clarifier certaines incertitudes des prévisionnistes.

15.7 Prévisions probabilistes et utilité pour les clients

De façon générale, les prévisions météorologiques contiennent un élément d’incertitude, et celui-ci est communiqué au moyen de méthodes différentes. Au Canada, la mesure la plus ouverte de l’incertitude est la probabilité de précipitations que contient une prévision publique; elle est généralement exprimée sous forme de pourcentage et a pour but de fournir des renseignements quant à la probabilité de précipitations sur le site ou la région couverte par la prévision publique pendant la période visée par la prévision. Cette forme simple d’énoncé d’incertitude ne reflète toutefois pas les données de probabilité beaucoup plus sophistiquées préparées pour les Jeux en 2010. Nous avons développé des modèles d’ensemble régionaux à haute résolution permettant de générer de façon plus explicite l’information relative à l’incertitude des prévisions. Cependant, de façon générale, ces Jeux n’ont pas profité de cette méthode. Il existe une controverse dans les publications sur les communications sociales et la météorologie quant à la façon de communiquer des données sur l’incertitude dans les prévisions météorologiques, et ce problème n’a pas été résolu pour les Jeux de 2010.

Un secteur pour lequel des renseignements sur l’incertitude ont été largement communiqués concerne les prévisions préparées pour la fabrication de la neige dans les sites en montagne, avant les Jeux. Comme il en a été question dans la section 5.3, un graphique d’ensemble illustrant les prévisions ainsi qu’un texte discutant de son contenu ont été fournis aux sites de compétition et aux autres utilisateurs, chaque jour, entre novembre 2009 et janvier 2010. De façon empirique, cette méthode a été utilisée par les gestionnaires de sites afin de déterminer l’emplacement où la neige serait fabriquée, les élévations, le déploiement des effectifs, et ce, parfois des jours à l’avance, selon le degré de confiance exprimé dans le texte et pouvant être inféré du graphique. Bien que cette méthode était complexe par rapport aux probabilités de précipitations, les clients semblaient comprendre l’essentiel de ces prévisions et savaient les utiliser à bon escient. Par exemple, on n’a manqué aucune occasion de fabriquer de la neige à Cypress au cours des mois pendant lesquels les prévisions ont été produites, bien qu’il y ait eu quelques occasions où la fabrication de neige n’a pas réussi lorsqu’on a tenté l’expérience pendant une période où les conditions météorologiques frôlaient les limites.

Plusieurs ajustements très importants, sur plusieurs jours, ont été apportés au calendrier des compétitions pendant les Jeux olympiques, et particulièrement pendant les Jeux paralympiques. Ces modifications étaient fondées sur les prévisions à long terme (trois à sept jours) et découlaient principalement des ensembles du Système de prévision d’ensemble nord-américain.

Les responsables des Jeux de 2014 à Sotchi et des Jeux de 2018 à Pyeongchang devraient étudier les possibilités de communiquer une fraction plus importante de renseignements contenus dans les prévisions météorologiques sous forme probabiliste. Un bon endroit où commencer à évaluer le concept pourrait être un module éducatif de prévision probabiliste, préparé par notre partenaire en formation pour les Jeux, COMET.

15.8 Héritage sur le plan des services et des communications

Les premières étapes qu’a franchies Environnement Canada dans les médias sociaux ont été réussies et ont démontré l’utilité d’Internet pour diffuser des renseignements utiles tant au public qu’aux médias. D’autres démarches comprenant une approche en marketing plus large par rapport aux médias sociaux pourraient être évaluées pour 2014. Les pages Web du site Météo spécialement préparées pour les Jeux et le prototype de prévisions par points ont été bien accueillis, mais il aurait été plus profitable de les introduire plus tôt dans le processus – au moins un an avant la cérémonie d’ouverture, plutôt que deux mois avant, comme cela a été le cas.

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